BLOODY HELL ▬ where are we now ..
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le Deal du moment : -40%
-40% sur le Pack Gaming Mario PDP Manette filaire + ...
Voir le deal
29.99 €

 

 teenage kicks. (uc)

Aller en bas 
2 participants
AuteurMessage
Invité
Invité




teenage kicks. (uc) Empty
MessageSujet: teenage kicks. (uc)   teenage kicks. (uc) EmptyMar 7 Juil - 21:36


    teenage kicks. (uc) 9atmjn

    Cassandra E. Bennett
    FEAT. Emma Watson


      « Comprendre... Vous n'avez que ce mot-là à la bouche, tous, depuis que je suis toute petite. Il fallait comprendre qu'on ne peut pas toucher à l'eau, à la belle eau fuyante et froide parce que cela mouille les dalles, à la terre parce que cela tache les robes. Il fallait comprendre qu'on ne doit pas manger tout à la fois, donner tout ce qu'on a dans ses poches au mendiant qu'on rencontre, courir, courir dans le vent jusqu'à ce qu'on tombe par terre et boire quand on a trop chaud et se baigner quand il est trop tôt ou trop tard, mais pas juste quand on en a envie ! Comprendre. Toujours comprendre. Moi, je ne veux pas comprendre. Je comprendrai quand je serai vieille. »



    Antigone, de Jean Anouilh.


Dernière édition par Cassandra E. Bennett le Mer 8 Juil - 11:16, édité 2 fois
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité




teenage kicks. (uc) Empty
MessageSujet: Re: teenage kicks. (uc)   teenage kicks. (uc) EmptyMar 7 Juil - 21:37

teenage kicks. (uc) 311





    Je regardais par la fenêtre. J’habitais encore chez mes imbéciles de parents dans le centre de la ville. Si je vivais encore ici, c’était simplement parce que la maison était parfaitement bien placée, proche d’un tas de boîte de nuit, de centre commerciaux et du lycée. Mais bizarrement ce matin là, la population avait l’air alarmée. Les passants se dirigeaient vers le lieu où des annonces était prononcé de temps à autre. Curieuse de nouveaux petit ragots, je me sortie, ma tasse de petit déjeuner toujours à la main.

    « Rumeurs … expérience … vampire … »

    Je n’entendais que des mots par ci par là. Mais rien de parfaitement concluant. Que se passait-il ce matin ?

    « … maximum de sécurité possible... Les futurs arrivants sont certes différents, mais ils ne méritent que d'autant plus notre respect. Aux nombres de leurs différences chiffrent ; la couleur, la température et la solidité de leur peau. La supériorité de leur force et de leurs réflexes. De plus, outre de nombreuses autres nuances, que je vous laisserai découvrir, je tiens à citer deux derniers points, qui sont les plus importants lorsque l'on compare notre vie à la leur. Leur longévité, qui est jusqu'ici inégalée, et leur régime alimentaire particulier ... Car oui, chers amis, nous nous apprêtons actuellement à accueillir des vampires. Mais attendez, je n'ai pas fini. Il est inutile de paniquer, car ces êtres, malgré la haine qu'éprouvent nos deux peuples l'un envers l'autre, ont tenu à respecter leurs engagements. Dès leur arrivée ici, ils seront soumis à un traitement, visant à les immuniser contre le soleil. Mais encore, lors de ce traitement, apparaitra sur leur poignet un cercle, assez petit, et incolore. Ce cercle est important, et veillez à l'apercevoir au moins une fois lorsque vous rencontrez l'un des leurs, car si jamais le vampire que vous avez en face de vous possède un cercle rouge, c'est qu'il ne respecte pas le contrat, et qu'il aura goûté au sang d'un humain... Mais rassurez vous, car ceci n'arrivera pas, et si il y a une probabilité que cela arrive, elle sera automatiquement analysée par le gouvernement ... De plus, la marque rouge s'annihile au bout d'une semaine à partir du jour où le vampire n'a plus touché au sang humain... »

    Je n’écoutais déjà plus. Mon bol s’écrasa par terre dans un vacarme tonitruant, suivit d’un long moment de silence. Le choc. Pour la première fois depuis des années, une seule personne avait réussit à me déstabiliser. C’était quoi cette blague ? Jusqu’à nouvel ordre les vampires n’existent pas, ils n’ont jamais existés que dans les livres d’Anne Rice ou je ne sais quelle autre histoire de fantaisie … ou d’horreur. Cette expérience se finira très mal quand toute la population de Napanee aura succombé aux morsures mortelles de ces créatures. Je serais même une des premières touchées d’après ce que venait de dire ma mère. Elle n’a pour une fois depuis longtemps, pas tord. Mais ce n’est pas à cause de ces nouveaux … habitants que je ne vais pas profiter de la vie. Bien au contraire, si on doit me l’enlever dans je ne sais combien de temps, très peu apparemment, je vais doubler le nombre de sortie en ville le soir. Avec un peu de chance, il ne seront pas si horrible que ça. Peu sont-ils de magnifiques créatures. En y réfléchissant bien, l’adrénaline des soirées n’en serait que plus forte, plus excitante car il n’y aurait plus que les dérangés du cerveau ou personnes dans le genre osant sortir le soir. J’allais m’éclater ! J’étais perdu dans mes pensées, et la population autour de moi, semblait déjà pleurer les futurs morts dans une longue minute de silence. Parce qu’il y aurait des morts, c’était une certitude.


Dernière édition par Cassandra E. Bennett le Jeu 9 Juil - 14:47, édité 4 fois
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité




teenage kicks. (uc) Empty
MessageSujet: Re: teenage kicks. (uc)   teenage kicks. (uc) EmptyMar 7 Juil - 21:37

teenage kicks. (uc) 411





    J’avais déjà envisagé différentes façons de mourir. Je me voyais fonçant dans une autre voiture, moi qui roulais toujours trop vite. De vieillesse aussi, la belle mort comme disent certains. Noyée dans la tourmente de l’amour, entre dépression et alcool. Brulé vive lors d’une attaque de terroristes. Ecrasée par un train dont j’aurais ignoré l’arrivée en défonçant la barrière, par pur plaisir d’adrénaline. Mais jamais de cette façon. Je dois avouer que ses lèvres, à la douceur esquisse ressemblaient à une caresse soyeuse. Elles chatouillaient mon cou d’une façon proprement intolérable, et, bien malgré moi, j’en appréciai le doux contact. Contact qui, dans les minutes à venir, me semblerait aussi doux que la brûlure du soleil en plein milieu du Sahara. Quelle femme sur terre n’aurait-elle pas souhaitée mourir de cette façon ? Se faire ôter la vie d’un tendre baiser dont le côté mortel aurait été dissimulé par cette mascarade de tendresse ? Je n’étais qu’un pion dans son jeu d’échec. Une simple folle que l’on sacrifie sans même en regretter le geste. Pourtant, je voulais encore y croire. Pourquoi me refuser ce plaisir, alors que mon cœur ne demandait qu’un peu d’affection avant de s’arrêter dans un soubresaut final. J’aurais pu fermer les yeux, dans l’espoir futile que l’horreur de la situation serait plus supportable. Mais la lumière du jour allait me manquer. Combien d’innocents comme moi étaient-ils tombés dans le piège ? Aurai-je mal ? La raison me soufflait que oui, mais mon cerveau semblait vouloir me préserver. Par pitié, laissez-moi apprécier encore la caresse de la brise sur mon visage. Encore quelques secondes. Je n’aurai pu espérer meilleure mort que la douleur atroce des dents de la sublime créature qui s’enfonçaient dans ma chair.

    BIP. BIP. BIP.

    Ma main s’écrasa sur l’objet à ma droite. Mon crâne me faisait atrocement souffrir et l’envie de me planter une balle dans la tête, là, maintenant, était pour le moins alléchante. Je voulais faire taire ce bruit insaisissable, que seule ma pensée comprenait. Je n’avais alors plus aucun point de repère, les mûrs autour de moi prenaient des formes incertaines. J’enfuis ma tête dans l’oreiller pour n’avoir comme dernier sens que l’ouïe : entendre enfin le bourdonnement du silence apaisant de ma chambre détendit mes membres. Je pouvais alors me rediffuser cette nuit dans le cerveau. Je ne me rappelais que de ce rêve : avec lui.

    Flash Back

    La musique n’était plus qu’un voile noir à mes oreilles, elle n’était plus le doux chant mélodieux du début de soirée mais c’était transformée en un bruit assourdissant. Infernale à vous en donner la nausée. Elle m’écrasait les tympans, et en compagnie de se mal de crâne incessant qui me tirait, m’entrainait vers le sol. Mon corps se serrait bien laissé porter, ainsi, la soirée se serrait terminée en chapeau de roue à l’hôpital mais mon esprit ne pouvait s’accommoder à l’idée que je ne tienne pas l’alcool. Parce que je supportais très bien cette substance, la preuve, je tenais encore sur mes deux pieds. Je pouvais même apercevoir, dans une vision trouble et furtive, mes amis accoudés au bar, les pires ivrognes essayant de se diriger vers la piste de danse. J’entendais les rires du ridicule derrière moi, et je n’en avais absolument pas honte. Au contraire, je m’y plaisais. Je sentais même les regards des passants s’arrêter sur moi. Quand quelque chose diffère de la normal autour de vous, les gens ont cette manière à la fois provocante et persistance de vous observer. Ils vous détail de haut en bas et bizarrement, c’est un des rares moments où l’œil voit se qui n’est pas important, les détails qui échappent habituellement. Alors et seulement à ce moment, ils se tournent vers leur compagnon pour lui chuchoter à l’oreille, en se moquant de vous, de regarder la scène. Ceux qui n’ont personne avec eux, tâches de pouffer de rire devant votre petite personne, de sortes que quelqu’un d’autre soit attiré. Ainsi de suite. C’est de cette manière que dans votre fort intérieur, des gens inconnus et sans importances à vos yeux arrivent à vous déstabiliser. Or, personne ne m’avais jamais déstabilisée et ce n’est pas maintenant que cela arrivera. Je levais mon verre à celui qui venait de rigoler devant moi, lui montrant mon indifférence.
    La rue était vide. Juste le bruit des voitures lointaines et des passants ayant forcés un peu trop sur l’alcool. J’avançais tant bien que mal au milieu de se vacarme incessant. Le cliquetis du verre jeté par terre vint jusqu’à mon oreille, je fixais son point de départ pour entrevoir un homme, ivre à en mourir. Je ne savais pas trop où j’allais ce soir là, je m’étais pour la première fois un peu trop bourré et si j’arrivais à rentrer chez moi, je serais incapable de retrouver l’endroit où je me trouvais. Je ne pouvais sentir que la brise du vent sur mon visage, seul sentiment clair de cette nuit. La rue était à présent vide de tout, plus de voiture, plus de passant, plus de bruit, plus que moi. Et cette ombre aux contours si élégamment dessiné dans le noir de cette nuit. Mais yeux redevinrent clair juste un instant, le temps d’apercevoir son visage si magnifique. Une peau pâle qui me semblait si lisse qu’elle me donnait l’envie déraisonnable de la toucher, comme pour vérifier la réalité de ce songe étrange. Ses cheveux noirs ébène devant son visage, la sombre lueur de la nuit me cachait toute autre partie, tel un rideau qui m’empêchait de goûter à la perfection de ses traits. Inconcevable. C’était ca, sa beauté en était presque inconcevable. Ses lèvres charnues et d’un rouge sang attiraient mon regard, et je fus pris d’un mal douloureux, dont le seul remède aurait été de les effleurer. Doucement, comme un chasseur se délectant de sa proie, je remontai vers son nez, dont les minces contours s’alliaient à merveille avec la finesse de son visage. Regarder quelqu’un avec une telle insistance en devenait presque impoli, mais je semblais tout aussi incapable de la quitter des yeux que d’arrêter les élans furieux de mon cœur. Les effluves enivrantes de son parfum – mélange de frésia et d’autres fruits venus des îles – s’emparèrent de moi, et je fermai les yeux comme pour respirer à fond son odeur capiteuse. Soulevant mes paupières, je mis un certain temps avant d’oser le regarder, devinant que lorsque je plongerai dans l’océan des siens, j’avais toutes les chances de m’y noyer. Un mannequin aurait vendu son âme au diable pour un visage pareil. Il se dirigea vers moi dans un ensemble de mouvements fluides et gracieux, et réduisit la distance nous séparant. Il m’offrit son regard, et pas n’importe lequel. Ses yeux semblaient me chanter une mélodie aux allures funèbres qui aurait dû déclencher en moi le signal d’alarme. Je savais exactement ce qu’était cette créature depuis l’annonce officiel de ce message mais bizarrement je n’éprouvais aucune crainte. Parce que je savais à partir de ce moment que mon destin serait d’être dans ses bras, morte ou froide comme de la pierre. Je savais alors, la manière dont j’allais mourir. Un bruit sourd retentit dans l’allée. L’homme, le vampire en face de moi se figea.

    « Monte Cassie ! »

    Mes amis me tiraient dans la voiture, m’éloignant de lui. Je m’y refusais et pourtant, trop absorbée par son visage, trop bourrée pour me débattre, je me laissais embraquer.

    Fin Flash Back.

    Des lors que mes yeux s’était posé sur cet homme, j’avais su mon destin : être froide comme de la pierre, vivante ou morte, passant mes derniers instant dans ses bras. Je le traquerais. Je le trouverais. Mais nuit de fête ne seront désormais qu’en son honneur.


Dernière édition par Cassandra E. Bennett le Jeu 9 Juil - 10:42, édité 6 fois
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité




teenage kicks. (uc) Empty
MessageSujet: Re: teenage kicks. (uc)   teenage kicks. (uc) EmptyMar 7 Juil - 21:37

teenage kicks. (uc) 111






    Salut ! Alors moi c’est Amélie, Lily ou Mely pour les intimes. J’ai 14 bougies, j’en aurais 15 le 29 Décembre, et je rentre au lycée l’année prochaine … J’attends le résultat du brevet avec impatience – bah oui c’est demain - >.<. Je suis arrivée sur ce forum par pur hasard au bout d’une petite heure de recherche de plusieurs rpg sur ce thème et je suis là aujourd’hui. Oh, j’allais oubliée, bravo, ce forum est ma-gni-fi-que aussi bien sur le design que sur le contexte.

    Code : Sucking your blood is soEt Marvelous


Dernière édition par Cassandra E. Bennett le Jeu 9 Juil - 14:57, édité 3 fois
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité




teenage kicks. (uc) Empty
MessageSujet: Re: teenage kicks. (uc)   teenage kicks. (uc) EmptyMar 7 Juil - 21:57

Ma Cassie chou <33
J'espère que tu te plairas ici, et j'ai hâte de RP avec toi !
Bonne chance pour ta présa !
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité




teenage kicks. (uc) Empty
MessageSujet: Re: teenage kicks. (uc)   teenage kicks. (uc) EmptyMar 7 Juil - 22:32

Bienvenue !
Revenir en haut Aller en bas
Summer P. Jackson
    & kiss me, darling ! »

Summer P. Jackson


Messages : 211
Date d'inscription : 05/05/2009
Age : 30

MORE THAN YOUR BLOOD
YES, I HAVE FRIENDS:

teenage kicks. (uc) Empty
MessageSujet: Re: teenage kicks. (uc)   teenage kicks. (uc) EmptyMer 8 Juil - 19:39

    Woah, une Cassie :p

    Welcome & bonne chance pour la suite (l)
Revenir en haut Aller en bas
http://xx--s0mewhere.skyrock.com
Invité
Invité




teenage kicks. (uc) Empty
MessageSujet: Re: teenage kicks. (uc)   teenage kicks. (uc) EmptyJeu 9 Juil - 14:59

    Quel acceuil ! (l)
    Mercii. <33
    J'ai super hâte de RP sur ce forum et je pense avoir terminée ma présentation.

    S'il y a des choses à ajouter, enlever ou supprimer parce que j'ai vu qu'il y avait une ancienne Cassie avant moi, qui a sûrement du faire avancer ce personnage, dîtes-le.
Revenir en haut Aller en bas
Aiden V. Carter
    COUPIIIIIINE de l'admin .. avec connexion alors taggle (l)

Aiden V. Carter


Messages : 120
Date d'inscription : 12/05/2009
Age : 31

MORE THAN YOUR BLOOD
YES, I HAVE FRIENDS:

teenage kicks. (uc) Empty
MessageSujet: Re: teenage kicks. (uc)   teenage kicks. (uc) EmptyDim 19 Juil - 13:10

Désolée, certains évènements ont du faire que.. En tout cas désolée d'avoir été longue.
Pour moi c'est bon tu es validée, si tu veux toujours rp avec nous petite chouquette I love you
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé





teenage kicks. (uc) Empty
MessageSujet: Re: teenage kicks. (uc)   teenage kicks. (uc) Empty

Revenir en haut Aller en bas
 
teenage kicks. (uc)
Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
BLOODY HELL ▬ where are we now ..  :: 
▬ p r é a m b u l e ▬
 :: 
Présentations
 :: Good bye my lover ..
-
Sauter vers: